dimanche 4 décembre 2011

Déni de réalité.

Au lendemain de la pseudo tenue de Grande Loge de la GLNF, qui a été un véritable camouflet pour son organisateur François Stifani, le squatteur de Pisan, force est de constater que ce dernier souffre d'un énorme problème de déni de la réalité. En effet, voici ce qu'il osait déclarer tout récemment  à la chaine d'information LCI :

"Même s'il y a eu un chahut peut-être provoqué par des éléments incontrôlés avec quelques dérives verbales, la tenue s'est déroulée du début à la fin"

"Quel que soit le nombre revendiqué (ndlr: par les opposants), il y a 43.000 membres et cette tenue de la Grande Loge a eu lieu malgré quelques excès, provoqués par des éléments incontrôlés, extérieurs"


Voici le petit reportage diffusé sur LCI :



Afin d'illustrer l'ambiance, et rafraichir la mémoire du Grand Ex qui en a grand besoin, voici quelques vidéos prises lors de cette pseudo tenue.



Ce que j'adore dans son discours, c'est le moment "pour que la vérité et l'amour fraternel triomphent". Cet amour fraternel qui l'aura conduit à faire radier des frères à la pelle, faire fermer près de 200 Loges...

D'autres vidéos mises en ligne par le Myosotis Lutece sont tout aussi parlantes :








Non, très franchement, ou ce monsieur a un gros problème, ou ce qu'il y a à cacher est absolument énorme. Comment quelqu'un qui est a priori intelligent, a-t-il pu imaginer une seule seconde que cette "tenue" pouvait tourner autrement ? S'il a réussi à se créer une Souverain Grand Comité à sa botte, qui la veille vendredi 2 décembre lui votait sa confiance avec un score "à l'africaine" de 98%, comment a-t-il pu croire verrouiller aussi bien sa "tenue" de GL ??? J'ai du mal à imaginer qu'à Pisan on ait si mal évalué l'ampleur de la contestation. Ou alors ces gens là ne vivent pas sur la même planète que nous.

Je mets le mot tenue entre guillemets. Pour moi, une tenue ne peut être dirigée par un GM reconnu comme tel. Ce qui explique que je me permets de bloguer ces vidéos.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire